Depuis le 22 novembre, les candidats homosexuels à la prêtrise sont traqués par l’Église catholique : interdiction leur est faite d’entrer dans la communauté.
Après l’excommunication des femmes autoproclamées prêtres et la « mise en congé » de prêtres pères, comment imaginer que « l’homme de fer » du Vatican ait pu décider autre chose ?
La ficelle est grosse car l’Église fait allègrement et perfidement l’amalgame entre la pédophilie (qui l’entache tout particulièrement) et l’homosexualité ! Si la première est un danger pour les enfants, la seconde n’est ni une maladie honteuse, ni une tare.
Une question à la « tête pensante » du Vatican : quelle méthode l’Église va-t-elle mettre en place pour « confondre » un homosexuel ? Encouragement à la dénonciation ? Prise de sang ? Examen de passage (travaux pratiques) ?
Tiens, cela me rappelle la Saint-Barthélémy. Comment reconnaître un protestant pour l’éliminer ? Réponse : « tuez-les tous. Dieu reconnaîtra les siens ».
On se demande vraiment pourquoi la prêtrise manque de candidats…
