C’était évident…



La seconde fois fut la bonne. Il fallait s’y attendre.Les 140 morts du premier attentat, en octobre, juste à son retour d’exil, ne représentaient rien, puisque l’intéressée elle-même en avait réchappé. Cette fois, il n’y a pas eu d’échec. Tir au pistolet + kamikaze = mort de Benazir Bhutto.

Je ne connais pas bien la situation là-bas, je n’analyse rien, je suis juste sous le choc.


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