Maxim’sorry

Je ressentais comme un privilège de pénétrer pour la première fois dans l’un des lieux mythiques de Paris, phare des années folles et antre de la jet-set.

Maxim’s ! J’ai rêvé des dizaines de fois de l’atmosphère « grande classe » (festive ou feutrée), du faste du décor, de l’accueil souriant d’un personnel stylé…

J’ai hélas tout de suite déchanté : personne à l’accueil (le fameux chasseur a sans doute été chassé), amabilité hyper-rabougrie du personnel, atmosphère sans âme, décor flétri, salons vieillots et poussiéreux, peintures écaillées, fauteuils défoncés, toilettes à peine propres et même pas de climatisation ni d’extracteur de fumée…

Seule bonne note : un divin cocktail au Cointreau.

La dame de chez Maxim’s est vite partie… Fin de règne. Rideau !


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