Conséquence : suppression des postes d’enseignants, ces trublions qui réclament toujours plus de moyens et qui empêchent les ministres successifs de pseudo-réformer en paix… Voyons large : ensuite, ce sera la fermeture totale des écoles, des cantines, avec suppression des sorties pédagogiques et activités collectives diverses.
Et si cet activisme protectionniste estampillé « grippe A » n’était-il pas tout simplement la première phase d’un vaste projet qui fait froid dans le dos : la destruction totale du système éducatif ?
On a déjà dégraissé la justice, l’armée et les services postaux. Il n’y a aucune raison pour que l’Éducation Nationale soit épargnée.
Elle est où, la télécommande pour stopper le programme ?