Vanité des vanités

Entre Fillon et Copé, il n’y a qu’un petit « Jean » d’écart ; mais lequel ? Jean-foutre ? Gros-Jean comme devant ? Quand au reste du prénom, lequel à fait à l’autre le coup du père François ?

Une chose est sûre : quel piètre et écœurant spectacle que la course au pouvoir !

Ah, si les politiques mettaient autant d’ardeur, d’énergie et de conviction à s’occuper des problématiques du pays qu’ils le font à être élus…


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